Les substances désignant ce qu’on appelle “les drogues du violeur” sont quasiment indétectables une fois mises dans les verres des victimes.
Pour y remédier, des étudiants américains ont peut-être la solution: un simple vernis à ongle.
Pour s’assurer qu’aucune substance n’a été introduite dans son verre, il suffirait alors d’y tremper un doigt : un changement de couleur du vernis signifiant qu’il ne faut surtout pas y toucher.
Une idée prometteuse, mais qui reste pour le moment à l’état de projet, les jeunes ingénieurs levant encore des fonds.
Si elles saluent toute solution aidant à prévenir le viol, des associations regrettent néanmoins que cette solution contraigne un peu davantage les femmes, à qui il incombe, une fois encore, la responsabilité de veiller à ne pas devenir victime.